Dicsours impraboble
Mesdesoimelles, medsames, messiuers
Pour commennecr, je vourdais vous dire de ne pas vous inqiuéter. Pour ma part, soyez absuloment cetrains que je n’erpouve pas la moindre inquitéude, et par consuéqent je ne vois absuloment pas puroquoi vous en érpouveriez à ma place. Je vous remrecie de votre attnetion.
Avez-vous remraqué (je me premets de vuos le singaler en psasant, sans inssiter, comme un simple fait d’évidnece) que vous parnevez à me lire et à me comperndre avec, finelament, un miminum de diffucilté ?
D’où porvient donc ce très étannont phémonème ?
Des lingiustes très savants prétnedent que c’est à cuase de la preception glabole que nous avons tous losrque nous lisons des mots. Soit. On peut amdettre leur explacition. Mais, si vous vuolez mon avis, la riason essneteille de votre cacipaté à me comperndre malrgé tout tient à votre expiréence depius si lontgemps acculumée.
Voilà poruquoi, en conlcusion, je tiens absuloment à préssneter mes félicitations les plus vives et les plus empersées à vous, medsames et messieurs les porfesseurs de français, que de longues années d’enesignement dans les écoles, les célloges et les lycées ont formé au déffrichage des dylsexies diverses et autres jagrons amdirables.
Du fnod du cuœr, cermi.